Le Laboratoire RENASCOR est né en France, d'un constat simple :

Le cheveu n'est pas un détail. Il est une frontière entre l'intime et le visible.

Sa perte peut survenir dans des contextes très différents — traitement médical, chimiothérapie, choc émotionnel, pathologie auto-immune, stress chronique, accouchement, troubles hormonaux, greffe capillaire, ou simple hérédité.
Mais l'impact, lui, est universel.

Lorsque les cheveux tombent, quelque chose vacille : l'image de soi, le sentiment de continuité, la façon dont on est perçu, regardé, reconnu.

Dans toutes les cultures, le cheveu est porteur de signes de santé, jeunesse, féminité, virilité ou pouvoir.

Sa disparition peut provoquer une blessure sociale aussi forte que physique.

RENASCOR vient du latin renasci : renaître.

Le Laboratoire RENASCOR a été fondé pour répondre à un vide : celui laissé entre la fin des traitements médicaux et le début de la reconstruction personnelle.

Notre mission est de faciliter le retour à la vie sociale grâce à un retour plus rapide — et de meilleure qualité — du cheveu.
Nous ne promettons pas l'impossible : nous réparons ce qui peut l'être, scientifiquement.

Aujourd'hui, le Laboratoire RENASCOR, outre sa présence en France et en Europe, est distribué aux EAU, à Malte et dans plusieurs pays d'Asie : Taïwan, Corée du Sud, Chine, Hong Kong.

L'arrivée de RENASCOR en Asie centrale, et plus particulièrement au Kazakhstan, est née d'une rencontre humaine et d'une conviction partagée.

Stéphane PAULET, fondateur du laboratoire, portait cette vision scientifique et sociale.

Aizhana SABITOVA, Kazakhe, y a vu une mission profondément utile pour sa région, où la parole autour de la chute de cheveux reste souvent silencieuse, voire honteuse, et où les solutions réellement efficaces sont inexistantes.

C'est ainsi qu'ensemble, ils ont décidé d'ouvrir ce nouveau chapitre : rendre accessible un protocole de croissance capillaire post-chimiothérapie unique au monde, ainsi qu'une gamme de soins de haute exigence.